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 MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière

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Invité
MessageSujet: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-22, 14:12

Morishita Daiki
incarné par FUKUSHI SOTA

PSEUDO - écrire ici
ÂGE - 22 ans
DATE DE NAISSANCE - 14/06/1993
LIEU DE NAISSANCE - Osaka
NATONALITE - Japonais
ETUDES/EMPLOI - Étudiant en Droit jusque-là
GROUPE - Fight For Freedom
RANG - Rebellion

Infos joueur
ÂGE - +20
PRESENCE - Disons 4/7
COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVES A SHINKYO -
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NOMBRE DE COMPTES - C'est mon premier !

Personnalité
Quelques mots... plusieurs en fait... pour parler du japonais.

ESPOIR : Daiki semble chaque jour au bout de sa vie. On dirait que peu de choses le passionnent assez pour raviver la flamme dans ses yeux suffisamment. Cependant, il ne faut pas s'y laisser prendre, il a cet espoir latent au fond de lui qui nourrira la première cause qu'il décidera de défendre. Il est entêté, sûr de ses opinions mais jamais ne les impose-t-il. Daiki, il veut y croire. Il est cynique mais paradoxalement, il n'est pas pessimiste.

SIMPLICITE ? On pourrait se tromper à croire que Daiki est compliqué. Il est en fait d'une simplicité atroce. Il ne demande pas grand-chose. Il se plaint parfois oui mais fait avec généralement. Il n'a pas la folie des grandeurs au niveau matériel, il se satisfait de peu dans la vie de tous les jours. Il a un amour ceci dit certain pour les sujets compliqués. La philosophie, psychologie, les mécanismes de l'économie, rien que ses cours de droit. C'est un intello. Pas par obligation familiale, il l'a toujours été, c'est naturel. Mais il aime croire qu'il est un garçon simple. Il aime savourer les petits plaisirs.

FRANCHISE : Le japonais a récemment appris le tact. Son père lui a souvent reproché son insolence et ses sarcasmes. Mais selon lui, il n'est pas insolent, il n'aime pas les disputes (bon un peu), il n'est pas sans le moindre tact. Il aime juste défendre son point de vue, mettre en avant ce qu'il ne va pas. Il a mis du temps à savoir exprimer son opinion de façon plus douce ou moins directe quand il est question d'un sujet personnel. Il trouve toujours que c'est difficile et très frustrant, d'autant plus qu'il prône parfois le choc pour certaines personnes : "certains individus ne comprennent pas à moins qu'on leur enfonce à coups de marteau et burin la vérité dans la tête".

GENTILLESSE : Daiki a toujours été incroyablement gentil. Le fait qu'il soit poli et bien éduqué lui donne un air très doux. Mais il est peu fier de tout ça, ayant que trop bien connu la trahison. Le Daiki d'aujourd'hui peut aussi bien vous sembler rayonnant de chaleur que froid d'indifférence. Ceci dit, comme il le dit lui-même, l'indifférence n'est pas incompatible avec la politesse et gentillesse. Parfois, le froid qu'il renvoie est sa meilleure arme. Et la politesse peut se montrer un moyen plus qu'efficace de tenir les gens à l'écart. Toujours est-il qu'au fond de lui, il a le cœur sur la main et souffre de se battre contre cette qualité qu'il se force à voir comme une faiblesse, une erreur.

SOLITAIRE : Daiki n'est pas particulièrement sociable. Même s'il a toujours eu de nombreux amis, il n'apprécie pas vraiment de se retrouver à 20 dans une salle de classe bruyante. Il n'aime pas les foules, les inconnus l'exaspèrent parfois. Ce n'est pas pour autant qu'il faut croire qu'il reste enfermé dans sa chambre, ne sortant que pour aller prendre ses cours ou faire des courses. Mais il apprécie passer du temps seul à défaut d'avoir la compagnie adéquate. Chaque jour, il lui faut sa piqûre de solitude, pour réfléchir ou éviter d'exploser à la tête de quelqu'un. Il aime l'odeur des bois quand il se balade seul, le bruit que font ses pas dans une ruelle de bon quartier déserte, le parfum enivrant d'un bouquin fraichement acheté chez le libraire ou la chaleur d'une tasse de café, thé ou chocolat chaud coincée entre ses deux paumes.

COMEDIEN : Le théâtre lui a été très utile. Daiki sait mettre en avant une facette de sa personnalité très aisément et ce pour parvenir à ses fins ou soit pour tout simplement s'adapter à une situation. Mais sa franchise peut souvent le trahir ou l'empêcher de jouer l'hypocrite. Ces jeux durent donc relativement peu de temps, juste assez pour avoir ce qu'il veut ou être tranquille.

INDECIS : On ne croirait pas qu'il le soit une seule seconde. Mais il est de nature à envisager toutes les possibilités et dès lors, un éventail d'actions s'ouvrent à lui. Le choix lui est parfois très difficile. Comme à ce jour, il ignore s'il aimerait qu'elle devienne une REBORN ou si il doit se méfier de tout ça. Faire son deuil et protéger ce qu'il reste ? S'entêter et mettre en péril le peu qu'il a ? En apparence, il est totalement contre mais au fond, le doute persiste. C'est dans sa nature. Le jeune homme a tout de fois une bonne morale (pour la plupart des choses) et aimerait que tout le monde puisse se vanter de la même chose.

MALADROIT : Cela semble tellement hors personnage et pourtant, c'est atterrant de constater à quel point Daiki peut jongler entre l'agilité d'un chat et la maladresse d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Cela vaut aussi bien pour les paroles, évidemment, que pour les gestes. Il en perdrait son sérieux. Cela dit, ce petit défaut dédramatise un peu le côté rigide et sérieux qu'on imagine Daiki avoir en permanence - ce qui est faux bien évidemment, même si récemment, cela semble plus rare.

J'AIME OU PAS  : Daiki a eu du mal à développer de réels intérêts et cela a un peu plombé son enfance et adolescence. Il se trouve fade et quelque peu robotique (il ne fait que des choses utiles par exemple, mais vraiment que ça). Il n'est pas très spontané non plus du coup. Mais depuis les incidents passés, depuis qu'il a surtout ouvert ses horizons, il a appris à apprécier plus de choses. Aujourd'hui cela reste relativement peu bien-sûr, d'autant plus après le deuil. Cependant, il ne demande qu'à apprendre à se passionner de quelque-chose. Il en meurt d'envie, c'est un besoin qu'il a de trouver ce quelque-chose qui va l'enflammer. Autre chose que sa nouvelle soif de justice, s'entend.

Daiki aimerait vraiment trouver une raison valable et une sorte de but à ce qu'on lui a inculqué bêtement. Il ne veut pas être comme son père ou ses paires qui apprennent sans réfléchir ce que leurs parents veulent. Il a envie de trouver un sens à ce qu'il fait, il a envie d'être utile, d'avoir simplement une raison de vivre. Car sinon, pourquoi se raccrocher autant à un enfer pareil ? Quel est l'intérêt ? Les gens se sentent-ils tellement confortables dans cette ambiance et médiocrité ?
Dans le genre intello, il déteste le capitalisme, s'intéresse un peu trop à la politique (quitte à s'énerver très souvent face aux déclarations de certains représentants), aime particulièrement les bibliothèques, encore plus quand elles ont un style assez ancien et similaire à celle d'Oxford. C'est dans ces moments qu'on se demande si par hasard, Daiki ne serait pas en fait un doux rêveur. Car oui, il pense très souvent à un monde meilleur et qui ne marcherait pas sur la tête - car il pense qu'on vit dans une société vraiment malade pour l'instant. D'un côté, alors, il pense qu'on a tous le devoir de réparer nos erreurs, ces dernières allant de la société de consommation (à l'excès faut-il préciser, dit monsieur) jusqu'à l'écologie (oui car ça aussi ça l'intéresse).

On le trouvera souvent silencieux et dans son coin lorsqu'il est dans un groupe, préférant observer, tirer des conclusions et opérer sur le nœud d'un éventuel problème ou apporter ensuite une aide adaptée à la situation. Mais quand il est question de débat, il devient quelqu'un d'autre. Peu de gens de son âge malheureusement apprécient les thèmes qui animent ce jeune homme ou sinon, ils se trouvent être bien trop arrogants au goût de celui-ci.
Il aimerait pouvoir faire resurgir son âme d'enfant et sa malice naturelle, avis aux amateurs !
Histoire
JUST GIVE ME A REASON

"Ce qu'on peut dire de ma vie passée, c'est que je n'ai jamais rien voulu d'elle. Je n'ai jamais rien attendu vraiment. En fait, je n'ai jamais eu de réel désir. Rien. Ce n'est pas pour autant que j'ai été malheureux - je vous épargne le stéréotype du lassé de la vie écorché et suicidaire. Non, il n'y a rien de tel. J'ai toujours bien vécu grâce au confort procuré par la situation plus qu'aisée de mes parents. Mon père, Morishita Hideyuki, est issu d'une bonne famille déjà de base. Il n'a pas eu besoin de lutter outre mesure donc pour se trouver une place dans la société, encore moins pour remplir davantage son compte en banque. Il fit des études de droit, comme la plupart des Morishita, devint juge puis quitta ce poste pour rentrer en politique. Ma mère, elle, Hasegawa Tatsuko, est également une fille de bonne famille. Elle reçut une éducation plutôt stricte et à l'ancienne, dans les valeurs des familles japonaises bourgeoises. Elle était professeur dans une école privée avant de devenir auteur de livre à plein temps. Ils sont aujourd'hui séparés mais là encore, cela ne m'affecta pas particulièrement et je n'en fus pas meurtri outre mesure. Je m'y attendais à vrai dire. Enfin, ce qu'il faut retenir, c'est que je n'ai pas connu le besoin. Mais je n'ai pas connu la récompense non plus.

Si j'avais un toit, des parents aussi présents que possible, leur éducation fut tout aussi stricte que celle qu'ils avaient reçu. Je n'étais jamais récompensé car il n'y avait aucune raison pour que je le sois : il était naturel que je fasse bien. Pourquoi récompenser ce qui était normal ? On ne me demandait pas de réfléchir. J'allais bien travailler, faire de longues études, aller en droit dans une des meilleures universités du pays ou à l'étranger et devenir soit avocat, soit juge. Que cela me fasse plaisir ou non. De toutes les manières, les notions de plaisir et de volonté individuelle me devaient être inconnues. Parce que les Morishita servent le pays, disait mon père fièrement sans même savoir ce que cela voulait dire. On dirait un samouraï né avec le devoir de faire ci ou ça. Enfin qu'importe...
Le problème dans tout ça, c'est que je réfléchissais. Je voulais connaitre le plaisir et me soumettre qu'à ma volonté. J'en étais cependant dépourvu. Alors je continuais d'avancer sur ce chemin tout tracé. Et quand j'avais le tort de remettre en question "le devoir des Morishita", je supportais sans trop broncher les représailles de mon père. Il n'aime guère l'insolence. Et je suis devenu plutôt un habitué du genre, hélas pour lui.

Je veux dire, les Morishita ne feraient-ils pas mieux leur travail et avec plus d'objectivité, d'ardeur, s'ils aimaient vraiment ce qu'ils faisaient ? Puis d'abord, les Morishita, c'étaient qui ? Lui ? Moi ? Mon frère ? Grand-père dans le fond de son lit couvert de draps en soie se raccrochant à la vie ? Nous n'avions rien d'une famille particulièrement étendue... On était 5 si on comptait ma mère. Alors "les Morishita" hein...

J'ai fait ma première année d'université dans le secteur privé à Waseda - mon père préférait ça bien que l'université de Tokyo connu de tous avait tout aussi bonne réputation. Poussons la bourgeoisie jusqu'au bout...
Ma deuxième année se passait à l'étranger. Je plaidais le besoin de me faire de me construire un cercle de connaissances plus vaste et mon père ne mit pas long à céder. Je savais déjà comment le manier - que je me plaisais à croire. J'ai alors connu le secteur publique... et mes premières envies.

Je ratais alors aussi la transformation de Tokyo en quelque-chose d'autre..."

TO KEEP MY HEART BEATING

"La pensée occidentale était très différente de celle dans laquelle j'avais toujours été baigné au Japon. On pourrait s'imaginer que ce fut un choc mais au contraire. Ce fut une véritable bouffée d'air frais. J'en avais rêvé de cette liberté, de pouvoir enfin dire ce que je pensais sans entendre la voix du paternel couper court à "mes fantaisies". J'allais me découvrir et peut-être trouver une motivation à ce que je faisais.

Je commençais d'abord par prendre des cours de théâtre en parallèle de mes cours de droit. Ce que je me gardais bien de dire à la famille. Je sortais plus souvent aussi, seul souvent et parfois avec des amis. Je passais mon permis de moto, me découvrant un goût certain pour les deux roues. Puis surtout, je suis tombé amoureux. Une grave erreur...

Je ne suis donc pas revenu seul. Loin de former encore un couple, cette fille et moi, quand on était ensemble, on pouvait soulever le monde. Mon père ne s'y est jamais opposé, à cette fréquentation. Ni à ce que je pouvais ressentir d'ailleurs - c'était si évident, il n'y avait qu'elle pour ne pas le voir. Non, Morishita père se fichait pas mal de ma petite idylle tant que je finissais dans les premiers de ma promotion et oubliais le théâtre. Me sentant chanceux de l'abandon d'un éventuel mariage forcé et de pouvoir garder quelque-chose qui était mien, j'obéissais. Tout ce qu'il voulait, tant que je gardais ma moto et cette fille.

Alors ce qui a déconné, vous vous demandez ? Le deal ne marchait qu'aussi longtemps que je l'avais elle. Alors quand elle est morte, tout a perdu de son sens. Pourquoi faire du droit et défendre une justice qui n'avait pas mis le coupable de sa mort derrière les barreaux ?
Rongé par la peine et le dégoût, je ratais ma troisième année franchement, me fichant pas mal de ce qui se passait autour de moi. Qu'importe que l'ancien Tokyo avait disparu, je ne l'avais jamais vraiment aimé de toute façon. Qu'importe que Shinkyo, âgé de quelques petites années soient gonflées de rumeurs en tout genre. Sauf qu'une de ses rumeurs attira mon attention plus que toutes les autres. Et je me penchais enfin sur ces histoires de REBORN.

Je ne vous mentirai pas, j'aurais vendu mon âme au diable si ça signifiait que je pouvais la faire revenir elle avec tous mes espoirs. Cependant, mon père m'a tout de même appris une chose : rien n'est gratuit en ce monde. Tôt ou tard, tout fini par être payé. Et je doute que mon âme soit un prix qui intéresse des êtres humains. Le diable peut-être mais il n'était pas non plus derrière tout ça. Même si tout cela ressemblait à la cuisine de l'enfer.

J'ai repris mes études de droit. Parce que j'ai la prétention de croire, oui, que je peux créer une justice telle que je la veux. Il y a cependant des jours où je pense soit m'engager de suite dans la police... ou frapper directement à la porte dudit diable. Mais une autre part a peur que je vende mes nouvelles valeurs durement trouvées pour un peu de bonheur interdit.

En outre, je ne pense jamais vivre un jour pour moi. Donc donnez-moi une raison qui justifierait chaque souffle et chaque effort. Je m'y vautrai.

Car pour un peu de lumière, je me sentais capable à devenir une ombre."
© MINA POUR TOKYO REBORN



Dernière édition par MORISHITA Daiki le 2015-06-25, 20:22, édité 5 fois
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-22, 14:23

Bienvenuuuuue ~ Ouah cro contente je suis la première à te le dire !
Bon courage pour ta fiche !!!
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-22, 15:09

Je te remercie beaucoup O/
Mon dieu, Maki en plus quoi... (retourne sagement à sa fiche)
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-22, 18:38

Héhé si tu es sage, on aura un lien tous les deux o/
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UTSUNOMIYA Hanabi
UTSUNOMIYA Hanabi
Points : 181
MA TÊTE : Mika Nakashima
J'AI : 24 ans
JE SUIS : Japonaise
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-22, 18:41

Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche ! Et en espérant que tu t'amuses bien parmi nous king
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-25, 18:16

Morishita Daiki, dans un post précédent, a écrit:
Kimiko ; Je suis toujours sage voyons hehe.

Hanabi ; Merci beaucoup à toi aussi !
Je compte bien m'amuser, j'ai vraiment hâte ** J'espère juste ne pas virer tornade...

Edit / Repost : Fiche terminée
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-25, 19:30

Mon collègue étudiant !!!! Je veux un lien avec toi quand tu es VALID !
Nyahahahaha !!! ♥
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KAGAMI Ren
KAGAMI Ren
Points : 575
MA TÊTE : Miura Haruma
J'AI : 24 ans
JE SUIS : Japonais
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-26, 04:08

Bienvenue en retardT.T je suis en voyage au Japon et je ne check pas beaucoup les forums ><

Mais OMG j'ai adoré ta fiche et ton perso ♥
Tu es validé(e) !

Si tu lis ce message, c'est que t'as fini ta fiche et que le staff n'a plus rien à redire =D
Mais comme on ne veut pas que tu t'ennuies, t'as encore quelques trucs à faire :
★ Finir de remplir ton profil
★ Faire ton carnet de rps et éventuellement commencer ton journal de bord
★ Demander un logement
★ Te présenter aux autres dans le flood
★ Commencer le rp (tu peux faire une demande)
Si besoin, tu peux également relire les annexes si tu as un doute et bien sûr, nous rejoindre dans le flood ! =D
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-26, 12:39

Ren ; Merci Smile
Et pas de mal, je comprends tout à fait (et je t'envie tellement aussi mais ça fallait pas le dire ahem). Merci encore !
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KAGAMI Ren
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Points : 575
MA TÊTE : Miura Haruma
J'AI : 24 ans
JE SUIS : Japonais
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-27, 05:11

Ahah tout le monde m'envie lol
J'ai pas envie de rentrer rho! Sauf pour les trains bondés XD
Je réserve un rp à mon retour! -1er Juillet-
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-06-30, 16:43

Bienvenue très en retard, désolé.
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Invité
MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty2015-07-01, 16:30

Pas de mal ! Je te remercie Smile
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MessageSujet: Re: MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière   MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière Empty

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MORISHITA Daiki | Pour un peu de lumière

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